Après une timide première soirée principalement marquée par les élucubrations complotistes d’un star en déroute, la seconde de deux était nettement plus convaincante, se donnant des allures de festival à part entière avec une programmation réussie sur les deux scènes. L’angle était également plus facile à cerner : avec une sélection d’artistes trans, queers et d’allié.e.s, Palomosa aura su rallier divers membres de communautés 2SLGBTQIA+ à sa cause, de même que tous les performative males de Montréal. Édouard Guay et moi y étions également, voici nos impressions.