C’est en ce vendredi soir que le chaos et la dystopie se sont emparés d’une des plus grandes institutions punk de Montréal. Fidèle à l’image « trash » de l’établissement, une faune éclectique s’est dirigée au deuxième étage; là où les quatre formations de la scène « underground » locale attendaient avec hâte. À l’affiche ce soir: un son profane, parsemé d’une technique divine…