La dernière fois que j’ai entendu Vadim Repin, je devais avoir une dizaine d’années. Mes yeux de petite fille étaient ressortis du concert grands ouverts et mes oreilles enchantées au possible. Inutile donc de dire mon excitation ce soir en entrant dans la Maison Symphonique de Montréal où j’allais renouer avec l’un des violonistes les plus prestigieux de notre temps.