La 25e édition du Bluesfest d’Ottawa est maintenant derrière nous, laissant en tête des festivaliers plusieurs beaux souvenirs. Notre photographe Greg Matthews y étaient, du début à la fin. Retour sur l’aventure du Bluesfest 2019 en 50 photos!
Si le rock des Glorious Sons aura ramené certains à la belle époque des cheveux longs et des solos de guit, c’est une toute autre capsule temporelle qui précédait leur performance.
On était plus circa 2000, de retour au temps où les écoles secondaires débordaient de toupets forgés au fer plat, d’eyeliner rouge et de snakebites. Oui, mesdames et messieurs, on a revécu notre période emo hier, AVEC FIERTÉ, alors que Taking Back Sunday enfilés les hits sous le soleil de plomb de la Capital City.
Le Prix de musique Polaris vient de dévoiler aujourd’hui même les 40 albums d’artistes canadiens qui forment la longue liste de 2019. Cette année, la délégation québécoise est impressionnante avec notamment les présences des incontournables Loud, Jean Leloup et Les Louanges, mais aussi d’autres plus surprenants.
L’an dernier, l’annulation du spectacle de Lil Uzi Vert avait bien mal conclu le festival Santa Teresa, un oeil au beurre noir pour un événement si jeune… Cette année, l’annulation du spectacle d’Alaclair Ensemble a plutôt donné lieu à un moment unique et rassembleur dont on se rappellera longtemps. Retour sur une conclusion de festival beaucoup mieux géré, comme quoi on peut apprendre beaucoup des fiascos.
Le Bluesfest d’Ottawa dévoilait cette nuit la programmation de sa 25e édition. Le moins qu’on puisse dire que le festival s’est gâté pour son anniversaire de quart de siècle…
Un an après une première édition mouillée à souhait, le festival Mile Ex End était de retour ce week-end pour une deuxième édition toute en humilité et en sobriété. Nouveauté cette année : la grosse scène en moins (et donc adieu au dinosaure à tête de gland gonflable mais semi-dégonflée de l’an dernier, zut), mais un volet humour en plus. Retour sur un Mile Ex End v.2.0 qui cherche encore sa place et son identité.
Quiconque a vécu son secondaire pendant les années 2000 ou autour a écouté – ou a connu quelqu’un qui a écouté – beaucoup de Sum 41. Ça explique pourquoi dimanche soir à la scène Loto-Québec, on avait l’impression que Limewire existait encore, que MusiquePlus montrait encore des vidéoclips et que Guitar Hero était encore à la mode. Sum 41 n’est plus au sommet comme il l’a été il y a de cela plus d’une décennie. Mais la nostalgie s’est emparée d’un parc de la Francophonie plein à craquer d’adolescents de tous les âges, prêts à crier chaque parole pour le passage du groupe pop punk le plus connu du Canada.