Mardi soir, la Maison symphonique de Montréal accueillait un projet audacieux : réunir sur scène Half Moon Run et l’Orchestre symphonique de Montréal. Huit ans après leur dernière collaboration, les deux formations se retrouvaient pour une série de concerts qui explore un territoire musical rarement emprunté.
De retour à la Maison symphonique après longue absence (excusable absence alors qu’il était du côté de la Royal Opera House de Londres pour y diriger le monumental Turandot de Puccini), Rafael Payare lançait hier le « festival Mozart » de l’Orchestre symphonique de Montréal avec trois représentations du célèbre Requiem du compositeur.
Fondé en 1978, le festival, qui se tiendra cette année du 4 juillet au 3 août, en aura vu passer des artistes et des orchestres. Force est d’avouer que la prochaine édition placera cependant tout de même la barre particulièrement haute avec un programme de grands orchestres, mettant en vedette de l’opéra et du baroque au passage.
Une sélection d’artistes toujours plus variée, des influences internationales mises de l’avant et une toute nouvelle grille tarifaire pour rendre ses concerts plus accessibles… L’OSM, sous la direction Rafael Payare, amorce une transition bien intéressante pour sa saison 2025-2026.
La soirée d’hier, 3 avril 2024, faisait en ce sens chaud au cœur. Très familiale, la formule ciné-concert présentée par l’OSM à la Maison symphonique représentait une excellente façon d’initier les jeunes au classique, surtout avec un programme aussi diversifié et rempli que celui auquel l’on aura eu droit.
Au matin du concert Voïvod Symphonique, on se disait que ça allait assurément être une rencontre ni plus ni moins que spectaculaire. Une occasion unique de voir unir leurs forces de chevronnés métallurgistes et un colossal orchestre symphonique…
C’était la frénésie Mozart à Montréal ce weekend avec deux présentations orchestrales du film de Miloš Forman Amadeus (1984) du côté de la Place des Arts, alors que l’OSM présentait une formule moins ambitieuse et plus intime du côté de la Salle Bourgie dans le cadre d’un court, mais intéressant, programme intitulé Mozart et la clarinette.
Eh oui, le temps des Fêtes est bel et bien terminé, et la première semaine de 2025 annonce le retour au travail. Certains pourraient dire que les mois les plus déprimants de l’année sont entamés, mais pas Sors-tu? En effet, à travers nos recommandations de sorties culturelles du mois de janvier, vous retrouverez sûrement un évènement qui vous redonnera le sourire aux lèvres et vous fera oublier la nostalgie des bûches de Noël et des rigodons en famille.
La Maison symphonique de Montréal a vibré jeudi soir au rythme d’une soirée unique dédiée à Robert Charlebois pour célébrer ses 80 ans. Intitulé Célébration Grandiose avec l’OSM, ce concert a offert une expérience musicale où certains classiques du géant de la chanson québécoise ont été réinventés dans une version symphonique réussie. La première de trois représentations à guichets fermés, l’événement a captivé le public par la qualité de sa réalisation et l’énergie de l’artiste.
Pour lancer les festivités de la programmation en salle de la Virée classique 2024, le chef Payare et ses cuistots nous ont servi, vendredi soir, l’intemporel Requiem de Giuseppe Verdi, ode à la mort dont le thème du Dies Irae fut repris un nombre incalculable de fois dans la culture pop. L’interprétation de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM), du chœur et des quatre solistes était rigoureuse et équilibrée, et n’augure que du bon pour le reste des activités et des concerts proposés ce week-end par l’institution montréalaise.