« C’est la saison d’un Québec qui choisit le chemin difficile, qui met à nu ses vulnérabilités, qui prend le risque de l’apprentissage et qui se donne toutes les chances en se mettant au travail », nous dit Sylvain Bélanger, l’actuel directeur artistique du CTD’A, en ouverture du programme de la saison prochaine. Une 51e édition pour ce temple sacré de la dramaturgie québécoise actuelle qui a abrité et révélé déjà pas moins de 350 œuvres inédites.