On constate l’horreur, mais on n’a pas envie de crier à l’injustice. On assiste, impuissants, à des viols à répétition, mais rien d’intolérable. Certes, les actions sont dérangeantes, le texte nous amène à compatir et le sujet est lourd… mais malheureusement, le rythme aussi. Quelque chose manque, détone, puisqu’on reste objectif.