L’Opéra de Montréal propose cette semaine, à la salle Wilfrid-Pelletier, son deuxième opéra de la saison, La Cenerentola, de Gioachino Rossini, un opéra rafraichissant et porté avec beaucoup d’humour par le casting choisi. L’opéra raconte l’histoire de Cendrillon avec cependant quelques petites différences par rapport au conte dont on a l’habitude : la belle-mère marâtre est absente et c’est le père de la jeune fille qui prend cette place, la chaussure de verre est remplacée par un bracelet scintillant et la bonne fée est ici un magicien.