Après une première journée sous le signe de la découverte, la suivante proposait quelques-uns des noms les plus familiers du festival. En l’absence de Björk – qui a annulé sa présence il y a quelques semaines – l’Islandais par adoption Jon Grant faisait figure de tête d’affiche « (presque) Made in Iceland », accompagné de l’Icelandic Symphony Orchestra, alors que se produisaient également Father John Misty, Emilie & Ogden et l’excentrique projet d’un ex-Sugarcube, Ghostigital.