La salle Louis-Fréchette, cœur emblématique du Grand Théâtre de Québec, incarne l’excellence culturelle au sein de la capitale nationale. Inaugurée en 1971, cette salle magistrale porte le nom du célèbre écrivain, dramaturge et homme politique québécois Louis-Honoré Fréchette. Avec ses quelque 1?800 sièges, elle se distingue par son architecture moderne, sa remarquable acoustique et son ambiance chaleureuse, qui en font un lieu prisé tant par les artistes que par le public. Pensée pour accueillir une grande variété de disciplines, elle est l’hôte privilégiée de concerts symphoniques, de spectacles de danse, de théâtre, d’opéra et de variétés. Elle est également le lieu de résidence de prestigieuses institutions telles que l’Orchestre symphonique de Québec et l’Opéra de Québec. Chaque saison, la salle Louis-Fréchette vibre au rythme de productions locales et internationales, alliant tradition et audace contemporaine. Plus qu’un simple espace de diffusion, elle joue un rôle essentiel dans la vie culturelle québécoise, rassemblant des milliers de spectateurs autour d’expériences artistiques marquantes. Véritable monument de la scène culturelle, la salle Louis-Fréchette demeure un lieu incontournable pour quiconque souhaite vivre la richesse et la diversité des arts vivants au Québec.
Sous les hautes voûtes du Grand Théâtre de Québec, un hiver entier s’est posé sur la scène. Un voile translucide sur lequel tombe des flocons recouvre la scène. Derrière ce rideau diaphane, un paysage enneigé se devine : maisons givrées, ciel nocturne, branches chargées de neige… Tout un monde figé qui attend d’être animé. Dans la salle, la chaleur des manteaux déposés sur les sièges contraste avec cette blancheur immobile, prête à s’ouvrir. Le public, de tous les âges, remplit chaque rangée : de petits enfants dont les pieds ne touchent pas encore le sol, des amis venus se déposer dans la magie, des grands-parents qui perpétuent un rituel transmis année après année. Puis les lumières se font plus douces. L’Orchestre symphonique de Québec se prépare, un léger frisson traverse la salle, et l’instant se suspend. Sans qu’aucune note ne soit encore jouée, on sent déjà que quelque chose va s’animer derrière le rideau, comme si l’hiver lui-même n’attendait qu’un accord pour reprendre vie.
Le duo dream-pop Ghostly Kisses, formé par Margaux Sauvé et Louis-Étienne Santais, unira pour la première fois son univers intime à la force cinématographique de l’Orchestre FILMharmonique dans le cadre de deux concerts événements à Québec et Montréal.
La saison des festivals extérieurs est peut-être terminée, mais la saison des spectacles en salle va la remplacer pour de bon et battre son plein dans les prochains mois! Sors-tu? et La Vitrine vous proposent une fine sélection de neuf projets de danse à ne pas manquer partout dans la province, d’octobre à avril 2026.
Le 27 juin 2025, la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec vibrait au son du Jazz at Lincoln Center Orchestra, dirigé par nul autre que Wynton Marsalis. Présentée dans le cadre de la septième édition du Festival Québec Jazz en Juin, cette soirée fut une véritable célébration du jazz orchestral à son plus haut niveau.
Il suffisait de franchir les portes du Grand Théâtre de Québec, hier soir, le 27 avril 2025, pour être instantanément transporté ailleurs. Un ailleurs qui n’avait ni frontière ni carte, où onze artistes aux talents multiples invitaient petits et grands à larguer les amarres avec eux. Barka, c’est le nom de ce spectacle vibrant, vivant, éclaté, porté par une troupe aussi colorée que les étoffes qu’elle porte.
Quelques jours avant la grande première à Montréal, les Productions Martin Leclerc présentaient le spectacle Dirty Dancing en Concert à la Salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec. Ce spectacle s’avère être un hommage à un des films les plus marquants des années 1980, mais surtout à sa trame sonore.
L’auditoire a été reçu directement sur la scène de la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec, samedi dernier. Un renversement du regard. Le public, installé là où jouent habituellement les artistes, face à un décor de salle vide et majestueuse. Ce soir, c’est la scène qui écoute. À l’entrée, Karine Pion, porteuse du projet Héritières, accueille le public avec humilité. Elle vient nous préparer à ce qui va se passer, à ce qui va se transmettre. Le ton est donné : humain, doux, profond.
C’était le 29 mars, au Grand Théâtre de Québec, mais Boucar Diouf nous a emmenés bien plus loin. Dans un espace où la science croise la sagesse, où l’humour embrasse la profondeur. Avec le spectacle Nomo Sapiens, qu’il présentera encore quelques fois avant de clore sa tournée, il offre bien plus qu’un spectacle : il propose une vision du monde, tissée d’intelligence, de tendresse et d’ironie douce.
L’Orchestre FILMharmonique a présenté un répertoire riche et indémodable des trames sonores de James Bond. Accompagné par deux chanteurs lyriques sachant tout autant naviguer dans la musique pop, l’ensemble a prouvé que la musique philarmonique est plus apprécié et moderne qu’on ne le pense dans notre esprit collectif.